Historiquement, les logiciels cliniques étaient des systèmes simples. Ils permettaient la gestion des patient.e.s (identité, adresse, facturation) et colligeaient l’information clinique remplie par les praticiens. Ces systèmes basiques n’étaient pas considérés comme faisant partie de la médecine et n’étaient donc pas soumis aux processus scientifiques et aux obligations morales de l’innovation médicale.